HUILE ESSENTIEL NIAOULI

12,50

Localement on l’appelle kininyn’drano (eucalyptus d’eau) en fait les remèdes locaux ont pris le nom de kininy (prononcer quinine) en rapport à la quinine que prenaient les colons pour se soigner du paludisme.

C’est un arbre des marais à l’écorce claire qui se détache en feuilles, les anglais l’appellent paper bark (écorce papier) qui a comme cousin le cajeput (melaleuca cajeputii) qui ne se distingue pas vraiment ni sur l’apparence ni sur la composition chimique de son huile essentielle et qui pousse en Asie alors que le niaouli serait originaire de Nouvelle Calédonie

il a été introduit dans l’ile par la colonisation comme de nombreux végétaux tels le café, les eucalyptus, et les plantes à parfum. Il s’est étendu naturellement en trouvant un terroir particulièrement bien adapté à son développement en formant de grandes forêts. la nôtre, voisine, fait plus de 7000hectares.

arbre de l’hémisphère Sud , il développe plusieurs types reconnaissables à la chimie de son huile essentielle. Le type 1 possède un chémotype cinéole 1.8 c’est le plus courant et le plus connu il contient une faible proportion de viridiflorol et il est du type respiratoire.

Sur certains terroirs il a développé un type viridiflorol majoritaire, c’est le type 2. Ailleurs on trouve le type 3 qui contient une proportion importante de trans-nérolidol lui confèrant des propriétés anti-stress corroborées par des études scientifiques françaises sur les cellules endothéliales. menées par le Pr Patricia d’Alessio à l’hopital Necker

huile essentielle est connue en France depuis longtemps pour les instillations nasales on l’appelait auparavant : huile goménolée (de GOYMEN en Nouvelle Calédonie). On ne compte plus ses bienfaits; c’est une huile majeure de l’aromathérapie tant dans les affections respiratoires, circulatoires, que cutanées, etc

FICHE TECHNIQUE (extraits de l’aromathérapie exactement de Pierre Franchomme et Daniel Pénoël)

Niaouli

Melaleuca quinquenervia (Cav.) S.T. Blake cineolifera

Famille botanique : Myrtacées
Organe distillé : Feuilles

Principes actifs (plus de 110 composants)

  • Monoterpènes (17 %) : α- et β-pinènes (7,5 % et 3 %), α-phellandrène (tr.), α- et γ-terpinènes, limonène (4-8 %)
  • Sesquiterpènes : β-caryophyllène (2 %), aromadendrène, allo-aromadendrène, viridiflorène, δ-cadinène
  • Monoterpenols : linalol, terpinène-1-ol-4 (2 %), (-)-α-terpinéol (9-14 %)
  • Sesquiterpénols : (-)-globulol, (+)-viridiflorol (6-15 %) nérolidol (17 %)
  • Oxydes terp. : 1,8-cinéole (38-58 %), époxycaryophyllène II
  • Aldéhydes aliph. : isovalérald., benzald. (tr.-0,8 %)
  • Composés soufrés

Propriétés

  • Anti-infectieuse, antibactérienne (peu ou pas active sur les entérobactéries, mais active à très active sur les coques gr. +: staph. doré ++++,
    pneumo. +, strep. β-hém. gr. A +++, entéro. ++), antimycobactérienne (BK d’origine pulmonaire, urogén., lympho. gg. +++, bac. de Hansen),
    antifongique (cand. ++ à +++), antivirale +++ (incluant les virus lents), antiparasitaire (plasmodium) et antiseptique
  • Fébrifuge
  • Anticatarrhale, expectorante +++, excitante balsamique
  • Anti-inflammatoire +(dim. α1-glob.), antirhumatismale, temporisatrice des phénomènes allergiques, analgésique, antiprurigineuse
  • Antihypertensive
  • Stimulante hépatocytaire
  • Décongestionnante veineuse ++
  • Litholytique +
  • Hormon-like (action au niveau de l’axe hypophyso-ovarien, oestrogen-like et hypophyso-testiculaire)
  • Tonique cutanée, topique
  • Antitumorale (?)
  • Protectrice cutanée (radioprotectrice)

Indications

  • Coronarite, endocardite, artérite +++, athérosclérose, hémogliase ; varices ++, hémorroïdes ++, hémorroïdes hémorragiques
  • Infection respiratoire catarrhale chronique, sinusite ++, rhinopharyngite, bronchite +++, tuberculose ; blépharites
  • Herpès génital +++, condylome acuminé +, lésions planes +++, dysplasie du col +++, vulvovaginite, vaginite leucorrhéique ; fibromes (certains) ++
  • Cancer du sein non-hormono-dépendant (adj.)
  • Amygdalite, aérophagie, gastrite, ulcères gastrique et duodénal, hépatites virales +++, petite insuffisance hépatique +, lithiase biliaire,
    entérite virale, diarrhées, choléra, cancer du rectum (adj.)
  • Urétrite et prostatite (instillation huileuse à 5-10 %)
  • Psoriasis, piqûre de moustique, furoncle, dermite mycosique, lèpre, plaies surinfectées et d’électrocoagulation, rides
  • Peau « cartonnée » (préventif, avant radiothérapie, en usage local)
  • Polyarthrite rhumatoïde
  • Dépression nerveuse (étiologie : infections virales)

Contre-indications

  • Enfants de moins de 6 ans, femme enceinte : contient de l’eucalyptol (1,8-cinéole), activité oestrogénique très modérée
  • Interactions médicamenteuses possibles (1,8-cinéole)

Contenance: 10ml

Description

Localement on l’appelle kininyn’drano (eucalyptus d’eau) en fait les remèdes locaux ont pris le nom de kininy (prononcer quinine) en rapport à la quinine que prenaient les colons pour se soigner du paludisme.

C’est un arbre des marais à l’écorce claire qui se détache en feuilles, les anglais l’appellent paper bark (écorce papier) qui a comme cousin le cajeput (melaleuca cajeputii) qui ne se distingue pas vraiment ni sur l’apparence ni sur la composition chimique de son huile essentielle et qui pousse en Asie alors que le niaouli serait originaire de Nouvelle Calédonie

il a été introduit dans l’ile par la colonisation comme de nombreux végétaux tels le café, les eucalyptus, et les plantes à parfum. Il s’est étendu naturellement en trouvant un terroir particulièrement bien adapté à son développement en formant de grandes forêts. la nôtre, voisine, fait plus de 7000hectares.

arbre de l’hémisphère Sud , il développe plusieurs types reconnaissables à la chimie de son huile essentielle. Le type 1 possède un chémotype cinéole 1.8 c’est le plus courant et le plus connu il contient une faible proportion de viridiflorol et il est du type respiratoire.

Sur certains terroirs il a développé un type viridiflorol majoritaire, c’est le type 2. Ailleurs on trouve le type 3 qui contient une proportion importante de trans-nérolidol lui confèrant des propriétés anti-stress corroborées par des études scientifiques françaises sur les cellules endothéliales. menées par le Pr Patricia d’Alessio à l’hopital Necker

huile essentielle est connue en France depuis longtemps pour les instillations nasales on l’appelait auparavant : huile goménolée (de GOYMEN en Nouvelle Calédonie). On ne compte plus ses bienfaits; c’est une huile majeure de l’aromathérapie tant dans les affections respiratoires, circulatoires, que cutanées, etc

FICHE TECHNIQUE (extraits de l’aromathérapie exactement de Pierre Franchomme et Daniel Pénoël)

Niaouli

Melaleuca quinquenervia (Cav.) S.T. Blake cineolifera

Famille botanique : Myrtacées
Organe distillé : Feuilles

Principes actifs (plus de 110 composants)

  • Monoterpènes (17 %) : α- et β-pinènes (7,5 % et 3 %), α-phellandrène (tr.), α- et γ-terpinènes, limonène (4-8 %)
  • Sesquiterpènes : β-caryophyllène (2 %), aromadendrène, allo-aromadendrène, viridiflorène, δ-cadinène
  • Monoterpenols : linalol, terpinène-1-ol-4 (2 %), (-)-α-terpinéol (9-14 %)
  • Sesquiterpénols : (-)-globulol, (+)-viridiflorol (6-15 %) nérolidol (17 %)
  • Oxydes terp. : 1,8-cinéole (38-58 %), époxycaryophyllène II
  • Aldéhydes aliph. : isovalérald., benzald. (tr.-0,8 %)
  • Composés soufrés

Propriétés

  • Anti-infectieuse, antibactérienne (peu ou pas active sur les entérobactéries, mais active à très active sur les coques gr. +: staph. doré ++++,
    pneumo. +, strep. β-hém. gr. A +++, entéro. ++), antimycobactérienne (BK d’origine pulmonaire, urogén., lympho. gg. +++, bac. de Hansen),
    antifongique (cand. ++ à +++), antivirale +++ (incluant les virus lents), antiparasitaire (plasmodium) et antiseptique
  • Fébrifuge
  • Anticatarrhale, expectorante +++, excitante balsamique
  • Anti-inflammatoire +(dim. α1-glob.), antirhumatismale, temporisatrice des phénomènes allergiques, analgésique, antiprurigineuse
  • Antihypertensive
  • Stimulante hépatocytaire
  • Décongestionnante veineuse ++
  • Litholytique +
  • Hormon-like (action au niveau de l’axe hypophyso-ovarien, oestrogen-like et hypophyso-testiculaire)
  • Tonique cutanée, topique
  • Antitumorale (?)
  • Protectrice cutanée (radioprotectrice)

Indications

  • Coronarite, endocardite, artérite +++, athérosclérose, hémogliase ; varices ++, hémorroïdes ++, hémorroïdes hémorragiques
  • Infection respiratoire catarrhale chronique, sinusite ++, rhinopharyngite, bronchite +++, tuberculose ; blépharites
  • Herpès génital +++, condylome acuminé +, lésions planes +++, dysplasie du col +++, vulvovaginite, vaginite leucorrhéique ; fibromes (certains) ++
  • Cancer du sein non-hormono-dépendant (adj.)
  • Amygdalite, aérophagie, gastrite, ulcères gastrique et duodénal, hépatites virales +++, petite insuffisance hépatique +, lithiase biliaire,
    entérite virale, diarrhées, choléra, cancer du rectum (adj.)
  • Urétrite et prostatite (instillation huileuse à 5-10 %)
  • Psoriasis, piqûre de moustique, furoncle, dermite mycosique, lèpre, plaies surinfectées et d’électrocoagulation, rides
  • Peau « cartonnée » (préventif, avant radiothérapie, en usage local)
  • Polyarthrite rhumatoïde
  • Dépression nerveuse (étiologie : infections virales)

Contre-indications

  • Enfants de moins de 6 ans, femme enceinte : contient de l’eucalyptol (1,8-cinéole), activité oestrogénique très modérée
  • Interactions médicamenteuses possibles (1,8-cinéole)

Contenance: 10ml